La valeur

Elle désigne le degré de clarté ou d’obscurité d’une couleur.

Les couleurs aux valeurs les plus claires sont le blanc et le jaune.

Pour voir la valeur d’une couleur, il suffit de plisser les yeux. Sinon imaginez l’image en noir et blanc.

Exemple : la valeur du jaune est plus claire que celle du bleu outremer

La saturation

Terme qui désigne le degré d’intensité chromatique, de pureté d’une couleur. Elle décrit la distance qui sépare les couleurs vives de leur décoloration complète, soit vers le noir, soit vers le blanc.

Les couleurs « fluo » en sont des exemples très saturés.

Différents niveaux de saturation d’une image CC BY-SA 3.0

Les couleurs rompues

Rompre une couleur, c’est la transformer en la mélangeant avec sa complémentaire. C’est faire disparaître son état pur, intense, saturé. C’est la ternir, la désaturer. On parle de couleurs rompues.

Le dégradé

C’est le passage progressif d’une couleur à l’autre ou d’une valeur à l’autre.

Exemples :

· Un dégradé d’une couleur à l’autre

Un dégradé du blanc au noir. Il est aussi un dégradé des valeurs claires aux foncées.

Le camaïeu

C’est un procédé de peinture utilisant plusieurs tons et valeurs d’une même couleur. Exemple un camaïeu de bleu.

Pablo Picasso, autoportrait, 15 ans, une peinture en camaïeu de bruns

Le monochrome

Il n’a qu’une seule couleur. La peinture monochrome est devenue une catégorie artistique au XX° siècle (Yves Klein).

Picasso, durant sa période bleu, ici un monochrome de bleu qui accentue l’atmosphère froide et dépouillée

Yves Klein, monochrome, sans titre, 1960, 199 x 153 cm. Ici le monochrome a davantage vocation d’espace infini, de vide et d’immatérialité.

Contrastes

Contrastes de valeurs

Georges de La Tour, Madeleine pénitente,1640, un contraste en clair-obscur

Contraste de couleurs

Georges Braque, « l’Estaque » appelé aussi « Le Port de la Ciotat »- 1906. En plissant les yeux, vous pouvez voir à quel point les couleurs claires apportent de la lumière et contrastent avec les couleurs aux valeurs plus foncées.

Vocabulaire supplémentaire

• · Deux couleurs complémentaires juxtaposées forment des contrastes
• · Deux couleurs complémentaires mélangées l’une à l’autre se neutralisent ou se détruisent, il y a désaturation.

source :   Sylvia Ladic  http://e-cours-arts-plastiques.com/la-couleur-expliquee-et-son-vocabulaire/

Passionné par les affiches de cinéma, l’illustrateur Laurent Durieux  a déjà brillamment revisité plusieurs affiches de films cultes comme Les Dents de la Mer ou encore Frankenstein, en leur donnant toujours une touche rétro.

Crédit image : Laurent Durieux

Crédit image : L. Durieux

Crédit image : L. Durieux

Crédit image : L. Durieux

Crédit image : L. Durieux

 

Crédit image : L. Durieux

Crédit image : L. Durieux

Crédit image : L. Durieux

Greg Guillemin dit aussi Léon à la maniére des affichistes de la première partie du XXe Siécle

Par dbclasse le 23 Mars 2016 à 08:31

 

 

   

série de Super-Héros vus par

Greg Guillemin

dit aussi Léon à la maniére des affichistes de la première partie du XXe Siécle

 

"Batman" de Bob Kane & Bill Finger et "La casquette Grand-Sport" une œuvre de Cassandre ( 1925 )

"Le surfeur d'argent" de Jack Kirby & Stan Lee et l'affiche du film "Metropolis" de Fritz Lang ( 1927 )

"Iron Man" de Stan Lee et "Normandie" de Cassandre ( 1939 )

 

"Thor" de Stan Lee & Jack Kirby et l'affiche du "Salon de l'automobile de Genéve" de Noël Fontanet ( 1930 )

"Iron Fist" de Roy Thomas Gil Kane et les "cigarettes Primerose" de Yong ( 1930 )

"L'incroyable Hulk" de Stan Lee & Jack Kirby et "St Raphaël" de Charles Loupot ( 1937 )

 "Batgirl" de Bill Finger & Sheldon Moldoff et une affiche des lingeries "Kestos" ( 1940 )

Une très belle réinterprétation d'affiches maintenant devenues classiques

 

Greg Guillemin

dit aussi "Léon" est un graphiste français connu pour avoir dessiné toute une série de posters consacrés au Super Héros des Comic's américains à la maniére des affichistes de la période Art Déco ( 1920 - 1940 )

 

"Cat Woman" de Bob Kane & Bill Finger et une affiche pour la lingerie "Kestos" ( 1940 )

"Batman" de Bob Kane & Bill Finger et la célébre affiche de Joost Schmidt pour le mouvement Bauhaus ( 1923 )

"The Avengers" de Stan Lee & Jack Kirby et une affiche pour la meneuse de revue Pépa Bonafé de Jean Carlu ( 1927 )

"Spiderman" de Stan Lee & Steve Dikto et "Dentifrice Gellé Frères" de Jean Carlu ( 1928 )

"Hellboy" de Mike Mignola et "Dubonnet" de Adolphe Jean-Marie Mouron dit Cassandre

( 1932 ) 

"Captain América" de Jack Kirby & Joe Simon Vs une affiche de propagande russe

( auteur inconnu )

 

"Le frelon vert" de William Dozier et "Triplex" de Cassandre ( 1930 )

 

Source : Blog, Mr Thanagra 

  

http://thanagra.typepad.com/blog/page/11/  

 http://thanagra.typepad.com/blog/2012/06/353.html  

 

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  Par dbclasse le 15 Mars 2016 à 08:51

  

  https://www.google.com/culturalinstitute/bruegel/

  VISITE INTERACTIVE DANS L'UNIVERS DE BRUGUEL

   

  

  

  
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  Par dbclasse le 15 Mars 2016 à 08:50

  JUSTICE - DVNO

  http://www.dailymotion.com/video/x6zfvp_justice-dvno_music

   

   

  Justice 'DVNO' Video inspiration - the original title clips

  https://www.youtube.com/watch?v=WfAoA_AQM9k

   

  DVNO est un single "electronic dance" du groupe Justice issu de leur album †

  Le clip a été dirigé par So-Me, Yorgo Tloupas et Machine Molle1; on y voit les paroles de la chanson mises en animation dans un style rappelant les années 80 ainsi que des logos assez familiers, comme celui d'HBO, 20th Century Fox, Turner Entertainment,Cannon Films, NBC, PBS, Sega, Audi, Universal Studios et de CBS Fox Video, avec les membres du groupe Xavier de Rosnay et Gaspard Augé jouant du piano à la fin. L'outro est un hommage au logo de fermeture de la compagnie de production de Stephen J. Cannell.

  .

   

contenus changeant de leurs centres d'intérêts habituels.

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  MATHZ

  Par 1elec le 26 Février 2016 à 10:10

   

   

  

  http://mathcz.tumblr.com/post/30946244910

   

  

   

  

   

   

   

  

   

   

   

   

  

   

   

   

   

  

   

   

  
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  Par 1elec le 26 Février 2016 à 09:45

   

  
  

   

   

   

   

   

   

   

   

   

   

   

   

  La notion de « Série »

   

  - Définition générale : « série » = répétition du même ; succession de choses de même nature ; ensemble

  d’objets de même sorte rangés dans un certain ordre.

  Exemple : un objet en série est un objet reproduit

  plusieurs fois à l’identique ; une série de casseroles (de même taille ou de tailles différentes).

   

  - Définition artistique :

   

  On appelle « série » un ensemble de travaux (peintures, sculptures, dessins, photos, etc.) qui font référence

  à un même modèle, un même sujet, un même procédé ou une même technique

   

   

  a) Il y a des séries que l’on qualifierait de « variables », c’est-à-dire qui explorent un même sujet avec

  des variables différentes.

  Les variables peuvent être : la couleur , le cadrage, la technique (huile, aquarelle, pastels…), le point

   

  de vue ( par exemple « la série » des « Coffins » de Titus Carmel), la répétition du procédé (comme

  par exemple les sérigraphies d’Andy Warhol)), ou d’un même thème ( par exemple les

  « Annonciations », ou les « Crucifixions», peintes par les artistes de la Renaissance).

   

  Nous prendrons ici comme exemple la Cathédrale de Rouen, peinte par Monet , avec des variables de

  couleurs et de lumières (suivant les différentes heures du jour et suivant le climat (brumeux, ensoleillé …)

   

  b) Il y a des séries que l’on qualifierait d’ « évolutives », c’est-à-dire qui transforment

  progressivement l’élément de départ (souvent « le modèle ») ; exemple : L’arbre, de Mondrian

   

  L’évolution marque les passages progressifs d’une peinture figurative, qui s’appuie sur le modèle

  visuel (ici, l’arbre), vers une peinture abstraite, où les traits, les lignes et les surfaces s’autonomisent

  et vont davantage vers une rythmique formelle que vers la copie visuelle.

  La peinture devient abstraite lorsque l’on ne distingue plus, que l’on ne reconnaît plus l’arbre, et que

  l’ensemble des formes (lignes, couleurs, surfaces) s’organisent entre elles dans un espace littéral ,

  faisant disparaître l’ espace suggéré .

   

   

  Claude MONET: Cathédrale de Rouen

  1892-94, série de 30 tableaux

  Huile sur toile, 100 cm. x 65 cm. (formats pour la majorité, avec quelques variables pour certaines)

   

   

  
  

   

   

   

   

   

   

  
  

   

   

   

   

   

  LA SERIE DES CATHEDRALES

  C’est un ensemble de 30 tableaux représentant tous la cathédrale de Rouen. Monet a réalisé ces

  toiles depuis la fenêtre d’une boutique en face de la cathédrale. Il était tellement près qu’il ne pouvait voir

  l’édifice dans son ensemble. Pour chacun des 30 tableaux, il a représenté la cathédrale à un moment

  différent de la journée : au petit matin, à midi, le soir, mais aussi au crépuscule ou par temps de brouillard.

  Ce qui l’intéressait, ce n’était pas de représenter la cathédrale pour elle-même, mais pour mettre en avant

  les variations de la lumière sur sa façade. Pour chaque tableau, il devait se dépêcher de peindre, car la

  lumière du soleil change vite. C’est pourquoi, il ne s’attardait pas sur les détails : il posait la peinture sur sa

  toile par petits paquets colorés (la touche), ce qui donnait à l’ensemble sa vibration. Ce qui l’intéressait,

  c’était l’atmosphère qui se dégageait du tableau. Certains journalistes de l’époque pensaient que Monet ne

  savait pas peindre et le critiquèrent. Pourtant, il est aujourd’hui l’un des peintres les plus connus de par le

  monde !

   

   

   

  Tiré du site : https://sites.google.com/site/histoiredesartsvalente/monet